C'est si proche de la capitale, à peine 80 kilomètres, pourtant ce coin au paysage paradisiaque au plan de la nature est resté peu connu de la masse de touristes. Sans doute pour des raisons sécuritaires et surtout pour le manque d'aménagement et d'accès. Les gens viennent et campent soit sur les rivages merveilleux et exceptionnels du côté est des monts et des trois îlots du côté ouest.
Toutefois plus maintenant. Les gens en familles ou en groupe ne s'en privent plus et y trouvent de plus en plus refuge pour fuir les grandes chaleurs ou les canicules lorsque la température grimpe ou atteint des sommets presque intolérables.
La corniche Chenoua s'étendant sur environ une vingtaine de kilomètres, entre une mer bleue si limpide et une façade de montagne qui s'élève directement à plus de 1 000 mètres, en pleine verdure et forêts, est un don naturel du ciel presque vierge pour les Algériens du Centre et même ceux venant des autres coins du pays.
L'engouement pour ce coin providentiel s'explique par deux facteurs, l'amélioration des voies d'accès et de la sécurité, en plus de sa proximité des grandes agglomérations dont la capitale et Blida. Les gens viennent même des villes intérieures comme Médéa et Aïn Defla pour une randonnée d'une journée.
Il faut encore passer les derniers barrages des éléments de la police et de la gendarmerie, mobilisés plus que d'habitude, dans cette région, d'apparence si calme, mais tenez-vous bien l'une des premières en criminalité vu l'afflux des visiteurs et donc des agresseurs venus des régions limitrophes et de loin, qui les guettent à l'affût. Ce sont les statistiques officielles émanant des rapports semestriels de la Gendarmerie nationale de la première région, basée à Blida qui le disent, ce qui explique le plan renforcé d'intervention et de surveillance pour veiller sur la sécurité des personnes et des biens.
Toutefois plus maintenant. Les gens en familles ou en groupe ne s'en privent plus et y trouvent de plus en plus refuge pour fuir les grandes chaleurs ou les canicules lorsque la température grimpe ou atteint des sommets presque intolérables.
La corniche Chenoua s'étendant sur environ une vingtaine de kilomètres, entre une mer bleue si limpide et une façade de montagne qui s'élève directement à plus de 1 000 mètres, en pleine verdure et forêts, est un don naturel du ciel presque vierge pour les Algériens du Centre et même ceux venant des autres coins du pays.
L'engouement pour ce coin providentiel s'explique par deux facteurs, l'amélioration des voies d'accès et de la sécurité, en plus de sa proximité des grandes agglomérations dont la capitale et Blida. Les gens viennent même des villes intérieures comme Médéa et Aïn Defla pour une randonnée d'une journée.
Il faut encore passer les derniers barrages des éléments de la police et de la gendarmerie, mobilisés plus que d'habitude, dans cette région, d'apparence si calme, mais tenez-vous bien l'une des premières en criminalité vu l'afflux des visiteurs et donc des agresseurs venus des régions limitrophes et de loin, qui les guettent à l'affût. Ce sont les statistiques officielles émanant des rapports semestriels de la Gendarmerie nationale de la première région, basée à Blida qui le disent, ce qui explique le plan renforcé d'intervention et de surveillance pour veiller sur la sécurité des personnes et des biens.
La corniche manque de tout
Aujourd’hui, malgré le retard pris, le mont avec sa belle corniche entend reprendre la place qui lui convient pour occuper les devants de la scène touristique. Ses atouts sont immenses, seulement à l'état grandeur nature. À part l'ancienne route, légèrement retapée, mais toujours à l'étroit, l'endroit manque de tout.
Par endroits, des jeunes aménagent des “parkings” pour permettre aux automobilistes en famille de garer leurs véhicules et d'aller goûter un moment de bonheur sur les petites plages et les rochers au milieu d'une forêt dense, une eau claire et une température de rêve. Ils ont défié la nature en se rendant utiles. “C'est mieux que de faire le harag en passant de l'autre côté”, nous dit l'un d’eux qui se plaint de l'instabilité de son travail occasionnel. La route ne désemplit pas, très animée dans les deux sens, ce qui permet une randonnée inoubliable. Toutefois, toute la corniche, qui a tant attendu, mérite un autre sort, un véritable plan de désenclavement et une vraie ceinture et des installations pour en faire un lieu de tourisme de masse et de qualité.
Aujourd’hui, malgré le retard pris, le mont avec sa belle corniche entend reprendre la place qui lui convient pour occuper les devants de la scène touristique. Ses atouts sont immenses, seulement à l'état grandeur nature. À part l'ancienne route, légèrement retapée, mais toujours à l'étroit, l'endroit manque de tout.
Par endroits, des jeunes aménagent des “parkings” pour permettre aux automobilistes en famille de garer leurs véhicules et d'aller goûter un moment de bonheur sur les petites plages et les rochers au milieu d'une forêt dense, une eau claire et une température de rêve. Ils ont défié la nature en se rendant utiles. “C'est mieux que de faire le harag en passant de l'autre côté”, nous dit l'un d’eux qui se plaint de l'instabilité de son travail occasionnel. La route ne désemplit pas, très animée dans les deux sens, ce qui permet une randonnée inoubliable. Toutefois, toute la corniche, qui a tant attendu, mérite un autre sort, un véritable plan de désenclavement et une vraie ceinture et des installations pour en faire un lieu de tourisme de masse et de qualité.
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