Toutes les raisons d’un retour
Le retour du journaliste algérien, Hicham Aboud après 15 années d’exile
a suscité l’intérêt auprès de tous les collègues de la presse en
Algérie. Déjà et dés son arrivée et en exclusivité pour Echorouk, Hicham
a déclaré que son retour en Algérie n’avait aucune relation avec les
réformes politiques contenues dans discours du Président de la
République.
Il a
expliqué qu'il n'était pas impliqué dans des détournements de deniers
publiques ni il avait du sang sur ses mains. Il a souligné qu'il a saisi
l'occasion de retour à sa patrie "dans la plus grande dignité’’, après qu’il
eu à faire face à quatre poursuites judiciaires après avoir donner son
opinion en révélant des réalités que traverse le pays.
Hicham
Aboud qui a participé au Forum d’Echorouk a déclaré que ses opinions
publié sur la presse devait faire l’objet d’investigation judiciaires
mais ce qui s’était passé était tout autre puisque une action judiciaire
avait été lancée contre lui après la publication de son livre ‘’La
Mafia des Généraux’’ une deuxième affaire en justice avait été intentée
contre lui par l’ancien conseiller sécuritaire à la présidence de la
république, le Général Bétchine. Une affaire en justice
contre Hicham avait été intentée par une personne qu’il dit ne pas
connaître. Mais le plus inquiétant pour Hicham c’est le fait que toutes
ces actions en justice avait aboutis à des peines d’emprisonnement alors
que le faits ne rapportent que ses opinions publiés sur la presse et
tout cela ‘’n’avait qu’un seul objectif : me faire taire’’ dira Hicham
au Forum d’Echorouk.
Il
poursuit: ’’J’ai informé mon avocat Me Khaled Berghel que j’allais
revenir au pays pour faire face à mes adversaires par le biais de la
justice.’’ Avant d’ajouter ‘’J’ai également informé tous mes amis en
Algérie et dans des pays étrangers, les journalistes, les juristes à
propos de ma décision de retour vers mon pays.’’ ‘’J’ai ainsi mis tout
le monde devant ses responsabilité s’il venait à m’arriver quelque chose
de pas bien ".
Parmi ses autres personnes que Hicham tenait avait tenues informées l’avocat Rachid
Mesli Qui est responsable dans une organisation de défense des droits
de l’homme basée en Suisse, et un représentant de la Commission des
droits de l'homme de l'ONU ainsi que de nombreux journalistes
travaillant dans les chaînes satellitaires arabes et non arabes.
Il
ajoute: «Quand je suis arrivé de l'aéroport, mon fils et moi avions
préparé des SMS qui nous devions envoyer si nos vies venait à être en
danger. La police de l'aéroport s’est comportée d’une la
manière la plus correcte. La police m’avait ensuite emmené chez la
police judiciaire qui m’a donc convoqué par le biais du procureur de la
république. Sur le chemin de la prison j'ai été en contact avec M.
Rachid Mesli, furtivement, parce que mon avocat n’était pas en ma
compagnie
a propos de la confiance qu’il a en la justice algérienne dira «Le premier point a été en ma faveur, c'est que l'accusation a essayé de me juger pour des faits qui se sont déroulés en France et non en Algérie. J’avais écrit mon livre sur les généraux en France puisque j’étais déjà exilé en France à cet époque’’
Le deuxième point est que la Cour d'Hussein Dey n'est pas territorialement compétente : puisque moi j’avais la forêt comme le plaignant d'une Cour régionale de Sidi Mohamed (Abane Ramadan), et je suis un tribunal régional de Lille, en France, et si nous prenons la dernière adresse moi en Algérie, c'est mon résidu propres, et donc Cour de Hussein Dey n'est pas vrai du son en question.
Pour
les réformes engagées en Algérie Hicham Aboud dira que même si les
intentions du pouvoir étaient bonnes, les réformes qu’il a engagées ne
répondent pas aux préoccupations et aux attentes du peuple algérien.
Ceci prouve que les conseillers du président de la République lui
transmettent de fausses informations sur les conditions de vie des
citoyens. Le peuple sera indifférent en cas d’échec des réformes
engagées par le pouvoir en place parce que ces réformes sont très loin
des préoccupations et des ambitions des jeunes.
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