Jean-Pierre Bel, président du Sénat et Claude Domeizel,
président du groupe d’amitié France-Algérie du Sénat, demandent une
reconnaissance officielle de la tragédie du 17 octobre 1961 à Paris
Cinquante ans après la répression tragique de la manifestation
pacifique du 17 octobre 1961 dans les rues de Paris, Jean-Pierre Bel,
président du Sénat et M. Claude Domeizel, président du groupe
interparlementaire d’amitié France-Algérie, rendent hommage aux victimes
oubliées du 17 octobre 1961, souhaitent que soient reconnus
officiellement les crimes commis et s’associent aux différentes
manifestations organisées en vue de commémorer cette triste page de
l’histoire de France.
Communiqué du 17 octobre 2011
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