Connue pour être une ville aux commerces florissants, Azazga se découvre un autre poumon économique et pas des moindres vu les foules qu’il attire quasi quotidiennement. De toute la ville d’Azazga c’est de loin le lieu le plus fréquenté. En effet, sur les ruines de l’ancien souk el fellah (ex galerie algérienne), se dresse impressionnant, un magasin que l’on n’avait pas l’habitude de voir en Kabylie : « le Priba ».
Connue pour être une ville aux commerces florissants, Azazga se
découvre un autre poumon économique et pas des moindres vu les foules
qu’il attire quasi quotidiennement. De toute la ville d’Azazga c’est de
loin le lieu le plus fréquenté. En effet, sur les ruines de l’ancien
souk el fellah (ex galerie algérienne), se dresse impressionnant, un
magasin que l’on n’avait pas l’habitude de voir en Kabylie : « le Priba
». Même si l’ancienne bâtisse hideuse du sinistre magasin d’Etat est
toujours là, il reste que son rafistolage est réussi. Les couleurs et
les jeux de lumières qui garnissent la façade sont attirants. Le design
est réussi. On y accédant rien n’indique que cet espace était jadis la
propriété des galeries algériennes. Avec un parking pouvant contenir
les centaines de voitures qui se présentent aux portes de cette foire
commerciale, les responsables font tout pour accueillir dans de bonnes
conditions les clients qui affluent de partout. Nous ne savons par
quelle magie le personnel de cet établissement ne se fatigue pas de
sourire malgré le travail harassant qu’il accomplit. De ce point de
vue, on peut dire que le pari est gagné. Au moment où les algériens sont
devenus les rois de l’incivilité ayant les nerfs prêts à exploser,
les ouvriers de cette ruche marchande ne se fatiguent jamais de la bonne
humeur.
L’intérieur de ce centre commercial respire l’hygiène et l’ordre. La climatisation bat le plein en été dans cette contrée où la chaleur est suffocante. Les étals offrent un agencement merveilleux permettant une circulation fluide d’une clientèle souvent nombreuse. De nombreux agents de sécurités veillent au grain dans une discrétion totale. Une fourmilière de serveuses et d’agents de ravitaillement des rayons pullulent. Ces salariés qui sont en majorité des jeunes filles ne se lassent guère d’orienter, de renseigner ou de donner un coup de main avec un sourire aux lèvres.
Situé sur l’axe central Azazga-yakouren, il ne peut échapper aux yeux des routiers qui empruntent ce chemin. C’est tout naturellement que vous vous y engouffrez pour faire les emplettes. On s y plait déjà dans l’agréable porche.
Au delà de cette présentation non exagérée, on peut dire que les gérants de ce super marché ont importé un savoir faire en marketing qui mérite d’être signaler ne serait-ce que pour les encourager à aller de l’avant. Ils ont généré des emplois en grand nombre. A coté des spéculateurs en tous genres et des blanchisseurs d’argents sale qui ne profitent aucunement à la région, les bâtisseurs de cet empire ont misé sur le sérieux et le développement local. La collectivité locale bénéficie d’un impôt considérable et le citoyen d’un service qu’il n’a pas l’habitude de voir chez nous. Si ailleurs le client est roi, chez nous par contre il est nègre et mendiant malgré une pseudo-économie de marché. De l’économie dirigée on est passé à un bazar incontrôlable. Les barons de la jungle spéculative s’accaparent le commerce intérieur comme extérieur. Les rois de l’import-import sont maitres du domaine. La barre de la mercuriale ne répond à aucune logique économique. La règle de l’offre et de la demande ne s’applique pas au marché algérien. Les prix sont imposés. La flambée des prix ne cesse de grever le budget des ménages. Comble du désastre algérien, même les dirigeants se disent incapables de situer les causes de cet état de fait. Un ministre de la république a annoncé toute honte bue à la veille du mois du ramadhan « qu’il ne comprend pas pourquoi les prix sont aussi élevés malgré toutes les mesures prises » quel culot !
Voila pourquoi nous devons signaler et encourager l’honnêteté de certaines gens qui travaillent pour faciliter la vie aux citoyens. Et tant mieux s’ils génèrent des bénéfices.
L’intérieur de ce centre commercial respire l’hygiène et l’ordre. La climatisation bat le plein en été dans cette contrée où la chaleur est suffocante. Les étals offrent un agencement merveilleux permettant une circulation fluide d’une clientèle souvent nombreuse. De nombreux agents de sécurités veillent au grain dans une discrétion totale. Une fourmilière de serveuses et d’agents de ravitaillement des rayons pullulent. Ces salariés qui sont en majorité des jeunes filles ne se lassent guère d’orienter, de renseigner ou de donner un coup de main avec un sourire aux lèvres.
Situé sur l’axe central Azazga-yakouren, il ne peut échapper aux yeux des routiers qui empruntent ce chemin. C’est tout naturellement que vous vous y engouffrez pour faire les emplettes. On s y plait déjà dans l’agréable porche.
Au delà de cette présentation non exagérée, on peut dire que les gérants de ce super marché ont importé un savoir faire en marketing qui mérite d’être signaler ne serait-ce que pour les encourager à aller de l’avant. Ils ont généré des emplois en grand nombre. A coté des spéculateurs en tous genres et des blanchisseurs d’argents sale qui ne profitent aucunement à la région, les bâtisseurs de cet empire ont misé sur le sérieux et le développement local. La collectivité locale bénéficie d’un impôt considérable et le citoyen d’un service qu’il n’a pas l’habitude de voir chez nous. Si ailleurs le client est roi, chez nous par contre il est nègre et mendiant malgré une pseudo-économie de marché. De l’économie dirigée on est passé à un bazar incontrôlable. Les barons de la jungle spéculative s’accaparent le commerce intérieur comme extérieur. Les rois de l’import-import sont maitres du domaine. La barre de la mercuriale ne répond à aucune logique économique. La règle de l’offre et de la demande ne s’applique pas au marché algérien. Les prix sont imposés. La flambée des prix ne cesse de grever le budget des ménages. Comble du désastre algérien, même les dirigeants se disent incapables de situer les causes de cet état de fait. Un ministre de la république a annoncé toute honte bue à la veille du mois du ramadhan « qu’il ne comprend pas pourquoi les prix sont aussi élevés malgré toutes les mesures prises » quel culot !
Voila pourquoi nous devons signaler et encourager l’honnêteté de certaines gens qui travaillent pour faciliter la vie aux citoyens. Et tant mieux s’ils génèrent des bénéfices.
Benamghar Rabah
Bonjour,
RépondreSupprimerJe suis passé par Yakouren pour aller à Bejaia voir les Mingots et suis donc passé par Azazga.
La ville est super belle, c'est une ville de commerçants.
Félicitations pour ce supermarché, il y en a 1 aussi à Boumerdes.
Qui sais peut-être un jour en algérie des soldes, des brocantes?
On retrouve aussi la mentalité Kabyle , la vraie.
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