Les orientations algériennes contraires aux intérêts Français dans la région Paris embarrassé par les positions algériennes

Les sévères remarques qui ont été formulées, lors de la rencontre organisée à Paris, au siège du ministère Français des Affaires Etrangères, en début de la deuxième semaine du mois de septembre en cours, qui a vu la participation d’ambassadeurs accrédités dans la région du Nord du Mali, révèlent la grande colère de Paris contre la politique algérienne dans la région, ne correspondant pas aux efforts français de récupération, qui se sont montrés clairement lors de la guerre en Libye.

Selon quelques indiscrétions publiées dans « Valeur Actuelle » sur la rencontre organisée par le Quai d’Orsay, la diplomatie française serait dérangée par les choix que l’Algérie avait pris dans la guerre en Libye. Les observations et remarques ayant été faites sur l’Algérie étaient vraiment différentes que celles sur la Tunisie, le Maroc et l’Egypte. Certes, l’Algérie a été qualifiée, lors de cette rencontre, de pays pitoyable mais aussi géant et grande force qui bloquera les plans tracés. L’Algérie a, notamment, été qualifiée par le grand perdant considérant que les algériens manquent de volonté. Pour ce qui est de la place géostratégique de l’Algérie dans le Maghreb Arabe, les participants à cette rencontre n’ont pas manqué de signaler que l’Algérie reste un pays qui dérange et qui bloque les plans et les politique tracées dans la région.
Ces observations reflètent le stresse exprimé par les cercles français, notamment, par rapport aux réserves de l’Algérie vis-à-vis de ce qui se passe dans la région, en particulier sur le dossier de la guerre en Libye et les orientations algériennes qui vont dans le contre sens des plans que Paris cherche à exécuter le plus tôt possible dans la région.