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mercredi 16 novembre 2011

Le franco–algérien Faouzi Lamdaoui, chef de cabinet dans l’Equipe de campagne de François Hollande

 
Faouzi Lamdaoui, chef de cabinet. L'un des "fidèles parmi les fidèles" est bien récompensé.

Pourquoi il compte
Proche de François Hollande, il est chef de cabinet de l'équipe de campagne du candidat PS à la présidentielle, après avoir été en charge des relations avec la presse pour l'ancien premier secrétaire du Parti socialiste dans le cadre de sa campagne pour les primaires socialistes.
Il bénéficie de soutiens de poids parmi les proches de François Hollande[1], et après avoir été en situation délicate au sein de sa propre famille politique début 2011, lorsqu'il a été assigné devant la commission nationale des conflits du PS suite à ses conflits permanents avec le maire (PS) d'Argenteuil, Philippe Doucet, il a finalement démissionné de son poste de conseiller municipal.
Avec Malek Boutih, Safia Otokoré,Nacer Meddah,Kader Arif, Hacen Boukhelifa et Najat Belkacem, il est l'une des figures de la diversité au PS.
Son réseau
Faouzi Lamdaoui est un proche de François Hollande: il a récemment accompagné l'ancien premier secrétaire de Parti socialiste dans son voyage en Algérie fin 2010 et il gère ses relations avec la presse dans le cadre de sa campagne des primaires socialistes.
Faouzi Lamdaoui peut également compter sur les proches de François Hollande dont Bruno Le Roux (député de Seine-Saint-Denis), Stéphane Le Foll (ancien directeur de cabinet et bras droit d'Hollande), ainsi que Didier Arnal (président du conseil général du Val-d'Oise). Stéphane Le Foll[1] et Didier Arnal[2] ont soutenu Lamdaoui contre le maire d'Argenteuil Philippe Doucet lors de la réunion du conseil fédéral qui examinait l'avenir du franco-algérien au sein du parti, début février 2011.
Son parcours
Ingénieur logisticien dans une entreprise privée, Faouzi Lamdaoui est le 14 novembre 1962 et arrive en France à l'âge de 10 ans. Ses parents habitent d'abord Manosque, dans les Alpes-de-Haute-Provence, avant de s'installer à Paris.
En 1992, à 30 ans, Lamdaoui entre au Parti socialiste. Il y occupera notamment les postes de délégué national chargé de l'égalité et de la lutte contre (...) Lire la suite sur Slate.fr

lundi 14 novembre 2011

Me Boukhelifa, le conseiller incontournable de François Hollande

C’est à Me Hacen Boukhelifa, un avocat algérien originaire d’Ighzer Amokrane, dans la région de la Soummam (Béjaïa), que le candidat du Parti socialiste français à l’élection présidentielle de 2012, François Hollande, a demandé une note sur l’immigration afin de s’imprégner profondément du dossier. Il faut le dire, Hollande a eu la main heureuse : Me Boukhelifa a produit un texte éloquent, révélant par endroits quelques chiffres inédits, ce qui offre à Hollande de bons matériaux pour construire un discours à même de battre en brèche la politique du gouvernement Sarkozy dans le domaine de l’immigration.
Tout au long de cette note, l’avocat s’est employé à démontrer comment “Sarkozy, Guéant et Fillon ciblent la goutte d’eau de l’immigration légale pour faire oublier l’océan du chômage de masse”, mettant ainsi à nu les incohérences et le caractère improductif de l’action de l’UMP en matière d’immigration et, partant, la dimension politicienne du discours de l’actuelle majorité.

mardi 25 octobre 2011

François Hollande “La France reconnaîtra ses fautes historiques”

La France “est suffisamment sûre d’elle-même pour admettre ses fautes historiques envers les peuples du Sud.” C’est François Hollande qui l’a clamé haut et fort dans un discours remarquable prononcé samedi devant quelque 3 000 militants et sympathisants du Parti socialiste, à l’occasion de son investiture officielle comme candidat à la présidentielle.

Loin d’être anodine, la phrase est chargée de sens et n’aura pas échappé à tous ceux qui désespèrent de voir, enfin, la France reconnaître les crimes commis lors des conquêtes, de l’occupation et des guerres coloniales. François Hollande a déjà eu un geste hautement significatif, la semaine dernière, en allant se recueillir à la mémoire des centaines d’Algériens assassinés le 17 Octobre 1961 à Paris par la police du préfet Maurice Papon. On y est particulièrement sensible en Algérie où l’occupation a duré 132 ans et où des crimes abominables ont été commis depuis la conquête jusqu’à l’Indépendance. La question a été régulièrement remise sur le tapis et empoisonne les relations entre les deux pays. Elle a été à l’origine de l’enterrement du projet d’amitié entre les deux pays, voulu par le président Jacques Chirac mais compromis, entre autres, par une initiative parlementaire française qui a fait voter une loi faisant l’apologie du colonialisme et de ses bienfaits.

lundi 17 octobre 2011

L'hommage de Hollande aux victimes du massacre du 17 octobre 1961

François Hollande, élu la veille candidat du PS pour la présidentielle, s'est rendu lundi sur le pont de Clichy pour témoigner "de sa solidarité" aux familles endeuillées par les événements du 17 octobre 1961, dont on commémore le 50e anniversaire. Accompagné de l'historien Benjamin Stora et de son conseiller Faouzi Lamdaoui, il a expliqué qu'il avait prévu depuis longtemps d'être présent à ce rendez-vous. "Je voulais être là, fidèle à la promesse que j'avais faite. Je suis venu témoigner de ma solidarité aux enfants, petits-enfants de ces familles endeuillées par ce drame", a-t-il ajouté. Autour de François Hollande étaient présents les maires PS de Clichy, Gilles Catoire, et d'Asnières, Sébastien Pietrasanta.

mercredi 12 octobre 2011

François Hollande : La France doit formuler des excuses pour son passé colonial en Algérie

Le candidat à l’investiture du parti socialiste pour 2012 François Hollande a souhaité que la France formule des excuses pour son passé colonial de 132 ans en Algérie.
«Je souhaite que les choses soient dites», a indiqué l’ancien premier secrétaire du PS dans une longue interview parue dans le dernier numéro de Jeune Afrique, en réponse à la question de savoir si la France doit formuler des excuses pour son passé colonial en Algérie.
«Je souhaite que les choses soient dites. Nous allons célébrer en 2012 le cinquantième anniversaire de l’indépendance algérienne : ce sera l’occasion de rappeler ce qu’est le passé, l’Histoire et ses douleurs multiples», a-t-il dit, ajoutant qu’»il ne faut pas nous figer dans une commémoration qui sera forcément différente dans l’évocation du souvenir en Algérie et en France»’. Le député PS de Corrèze, qui n’a pas précisé s’il présentera lui des excuses au cas où il accéderait à la magistrature suprême en 2012, a estimé que les deux pays doivent être dans une relation de «confiance mutuelle et dans la construction de projets communs.